Le retour

Nous voici de retour dans la capitale après 9 heures d’avion avec escale à Istanbul.

C’est avec un petit pincement au coeur que nous avons quitté Zamir, notre chauffeur vigilant, qui ne s’est jamais départi de son sourire et de sa bonne humeur.

La nuit dernière, mes rêves étaient encore au Kirghizistan. Nous garderons en particulier un bon souvenir de ses habitants qui, malgré une vie difficile, font toujours preuve de bienveillance et d’ouverture à l’autre. C’est un pays à recommander vraiment aux amoureux de la nature.

Peut-être à bientôt pour une autre aventure.

 

Bishkek

Le lac Issyk Kul, long de 170 km est cerné sur ses rives nord et sud par des chaînes de montagnes enneigées. La rive nord, qui bénéficie de nombreuses plages n’était pas encore envahie par les touristes kazaks à cette période, et le lac n’était heureusement plus amputé de ses montagnes par les nuages comme c’était le cas lors de notre arrivée sur la rive sud.

Lac Issyk Kul 5

Lac Issyk Kul 7

Quelques arrêts aux pétroglyphes de Cholpon Ata et à la tour de Burana avant notre arrivée à Bishkek avec une température de 36°. Remballons les doudounes !

Pétroglyphes de Cholpon Ata 3 Petroglyphes de Cholpon Ata 4

Tour de Burana 2

Bishkek a sa Maison Blanche, siège du gouvernement :

Bishkek 7

La place centrale est en fait un grand parc ombragé, où une statue de la liberté a remplacé celle de Lénine.

Bishkek 4

Devant le musée historique de l’état :

Bishkek 1 Bishkek 2

Ils ne bougeaient pas un cil…

Egalement un curieux monument à la Seconde Guerre mondiale en forme de yourte.

Bishkek 5

Le lendemain, un sentier qui se perdait, un  ciel qui se chargeait et des grondements de tonnerre ont de nouveau stoppé notre ascension vers le glacier d’Adygene. Nous avons tergiversé au départ pour trouver la nouvelle passerelle pour traverser un torrent impétueux, celle indiquée sur le guide s’avérant condamnée, puis nous sommes un peu égarés avant de trouver le bon chemin, extrêmement raide. Ce fut quand même une belle balade, assez éprouvante.

Ala Archa 1

Sur notre sentier, dans un bois de mélèzes, un cimetière d’alpinistes :

Ala Archa 2

Un dernier petit tour dans Bishkek, même dans les endroits où tout bon touriste ne devrait pas aller, histoire d’avoir moins de regret de partir…

Curieux chantier d’immeuble « containers » en construction :

Bishkek 9

Tuyaux de chauffage collectif, datant probablement de l’époque soviétique :

Bishkek 10

Nous sommes rentrés au moment de l’appel à la prière vers 19 heures pour prendre un peu de repos avant un réveil précoce (2 heures) pour nous rendre à l’aéroport.

 

 

Karakol

Un lit douillet, une bonne douche chaude, une température douce, c’est vraiment jouissif!

Karakol, bien qu’étant la quatrième ville du Kirghizistan, reste une petite ville.

On y trouve davantage de Russes et d’orthodoxes,

Karakol 1

mais aussi une mosquée chinoise

Karakol 3

et bien sûr … un bazar.

Karakol 6 Karakol 10

Karakol 11 Karakol 12

Karakol 5 Karakol 8

La station d’Altyn Arachan et ses sources chaudes ne sont guère accessibles qu’avec de gros 4×4 militaires qui vous secouent et vous font sauter dans tous les sens, ou à pied. Cà doit limiter le nombre de curistes… Après une dizaine de kilomètres sur les 15 à parcourir, nous avons fait demi-tour aux premières gouttes de pluie, les sommets se couvrant de façon menaçante. Nous avons rencontré une famille de Français véritablement en périple depuis début janvier via Turquie, Iran, Turkménistan, Ouzbékistan,Tadjikistan… ainsi qu’un couple de Canadiens courageux qui montaient avec de gros sacs à dos. Plaisant de parler français…

Vers Altykarasan

Nous nous sommes rabattus sur le musée Przewalski (voilà un véritable baroudeur du XIXe) et sur le lac.

Lac Issyk Kul Confection de briques

Je ne peux m’empêcher d’ajouter une photo du petit chat très joueur de notre hôtesse, qui aurait ravi Maëlys, Maxence et Romane.

Karakol 13

Bisous.

Lac Issyk Kul et Jety-Oguz

Nous avons essuyé un bel orage dans la montagne.

Quelques chameaux devant le barrage d’Ortotokoy :

Entre Tash Rabat et Beltam barrage d'Ortotokol 2

Entre Tash Rabat et Beltam, barrage d'Ortotokol 1 chameaux

Ici, comme en Ouzbékistan, le code de la route est différent de chez nous :

– Limitation à 30 ou 50 : on multiplie par 2 ou 3

– Seuls ralentisseurs efficaces : les animaux

– Rares feux rouges : on regarde bien s’il ne vient personne avant de passer

– On roule tantôt à droite, tantôt à gauche en fonction de l’état de la chaussée et, bien sûr, on double tantôt à droite, tantôt à gauche.

On a doublé, sur la grande route menant au lac Issyk Kul, dont des tronçons relevaient de la piste, de nombreux camions chinois. Beaucoup de camions arrêtés également pour crevaison ou panne.

Le temps reste désespérément à la pluie. Les montagnes sont coiffées et le lac ne nous apparaît pas sous son meilleur jour.

Las Issyk Kul 1

A Kochkor, premier café internet depuis Osh, mais mortellement lent. Je suis contrainte d’attendre Karakol pour publier la suite du blog.

Après une nouvelle nuit sous yourte, nous nous enfonçons dans la gorge de Jety-Ogul ; falaises rouges à l’entrée puis paysage alpin.

Jety-Oguz 2 Jety-Oguz 18

Jety-Oguz 15 Jety-Oguz 13

Jety-Oguz 3  Jety-Oguz 4         Jety-Oguz 9 Jety-Oguz 5

On m’a proposé de traire les vaches, mais je crains d’avoir oublié…

Jety-Oguz 10

Demain, retour à la civilisation et à des températures plus clémentes.

A bientôt.

Tash Rabat

Route de Song Kul à Tash Rabat :

Entre SONG KUL et TASH RABAT 3

Entre SONG KUL et TASH RABAT 2

Entre SONG KUL et TASH RABAT 6 Entre SONG KUL et TASH RABAT 7

Entre SONG KUL et TASH RABAT 8

A Tash Rabat, bonne étape sous yourte. Notre hôtesse fêtait ses 31 ans. Après la visite du caravansérail et une courte promenade hier,

TASH RABAT 3 caravansérail

TASH RABAT 4 caravansérail

TASH RABAT 6

nous avons décidé, le temps semblant propice, d’aller à cheval jusqu’au col surplombant le lac Chatyr Kul. Je n’arrivais pas à freiner mon cheval Torat qui voulait toujours passer devant les autres et le trot n’est pas le traitement idéal pour un dos vieillissant… Celui d’Antoine (« il n’a pas voulu me dire son nom », dixit Antoine) au contraire ne voulait pas toujours avancer.

TASH RABAT 10

TASH RABAT 14

TASH RABAT 16

TASH RABAT 17 TASH RABAT 19

TASH RABAT 20

Le lévrier afghan qui nous a suivis pendant toute la randonnée a choppé une marmotte imprudente sous nos yeux et nous a rapporté son trophée.

TASH RABAT 7

TASH RABAT 21

Nous sommes revenus entiers mais frigorifiés après 5 heures de cheval au lieu de 6 annoncées.

TASH RABAT 22

A bientôt.

Dans le froid

Surprise au réveil : il a reneigé. Mais le ciel est dégagé et le vent est tombé. Toilette très succincte. Nous n’avons pas eu froid cette nuit : -6°, alors que la nuit précédente la température était descendue à -15°. Le lac est à 3064 mètres d’altitude. Nous ne sommes pas encore acclimatés et nous essoufflons facilement.

La neige fond assez vite et nous découvrons même des fleurs.

SONG KUL 5SONG KUL 7SONG KUL 8SONG KUL 9 SONG KUL 3

SONG KUL 4

SONG KUL 11 SONG KUL 13

SONG KUL 15

Hier soir, nos hôtes ont tué un mouton de 6 mois. Zamir voulait que j’aille voir pour prendre des photos. J’ai fui courageusement et vous épargnerai les images du saignage et du dépeçage. Je n’ai pas pu en manger (il y en avait et dans la soupe et dans le plat de résistance). Alexia, le comité de défense des moutons mongoles ne pourrait-il aussi se préoccuper des moutons kirghiz ?

A bientôt.

Lac Song Kul

Après un bon petit déjeuner chez l’habitant à Kyzylov,

KYZYLOY chez l'habitant 1.JPG KYZYLOY chez l'habitant 2.JPG

nous poursuivons aujourd’hui la piste jusqu’au lac Song-Kul, où nous devons passer deux nuits sous la yourte. Deux voies possibles : l’une comporte deux cols, mais « zablok » ; l’autre un col, avec passage incertain. Zamir se lance. Nous passons un premier petit obstacle, puis trouvons des pierres barrant la piste. Il faut chercher où la voiture va pouvoir franchir le gué. Après un épisode de patinage, ouf ! l’obstacle est franchi.

Entre KYZYLOY et SONG KUL 5Entre KYZYLOY et SONG KUL 7.JPG Entre KYZYLOY et SONG KUL 8 Entre KYZYLKOY et SONG KUL 11 Entre KYZYLKOY et SONG KUL 13                                             Entre KYZYLKOY et SONG KUL 15

Nous sommes dans la neige et voyons le lac bleu au loin, puis 7 yourtes, notre destination. Il faut sortir les doudounes…

SONG KUL 1

Le poisson du lac, préparé par les deux seules femmes actuellement présentes, est exquis. Elles habitent ici cinq mois de l’année. L’eau est obtenue en faisant fondre la neige. Tout serait finalement pour le mieux si je n’avais pas les orteils gelés…

A bientôt.

Encore des imprévus

Après nos déboires à Margilan et au vu des difficultés prévisibles au Kirghizistan pour transport et hébergement sur nos sites de visites, nous avons décidé (et il s’avère que c’était judicieux) de faire appel au pied levé à une agence afin d’obtenir un chauffeur attitré et des réservations chez l’habitant. Zamir nous a rapidement pris en charge avec son 4×4.
UZGEN 5 mausolée du XIIeme Mausolée d’Uzgen

Entre UZGEN et ARSLANBOB rizières  Rizières

Aujourd’hui, après une nuit chez l’habitant dans la plus grande forêt de noyers au monde, surtout peuplée d’ours, de chacals, de sangliers et de renards, nous trouvons un ciel bas, une rivière gonflée et rouge, une route souvent envahie de boue rouge.

Réserve d'ARSLANBOB 5 chez l'habitant Réserve d'ARSLANBOB 8 chez l'habitant

Nous partons à l’assaut du col Koldama Pass (3062 m) sans savoir, tout comme hier, si « zablok »  ou « nièzablok » suite au gros orage d’hier et avec la pluie persistante. Après moult contacts téléphoniques et échanges avec la population locale, Zamir décide de tenter sa chance. Nous nous élevons sur une piste comportant par endroits quelques reliquats de goudron du siècle dernier. La température baisse progressivement. Nous trouverons sans doute la neige

VERS KAZARMAN 3

Après un passage un peu difficile mais franchissable, nous sommes vraiment contraints à l’arrêt, c’est trop dangereux.

VERS KAZARMAN 4

Un motard thèque est d’ailleurs en pleine galère, sa moto coincée entre de grosses pierres. Les essais de traction avec notre 4×4 resteront vains,

VERS KAZARMAN 7

Seuls les chevaux parviennent à traverser. Il faut attendre le tractopelle. Toutefois je comprends que le chauffeur, qui a déjà été très sollicité la veille, a bu beaucoup d’alcool et dort : ce sera donc dans 1 heure ? 2 heures ? 3 heures ? plus ?… Le téléphone sonne, ce qui nous surprend car nous n’avions pas de connexion jusqu’alors. Le patron de Zamir lui demande de faire demi-tour. Nous risquerions de nous retrouver piégés entre 2 « zablok ». Nous devrons donc parcourir 620 km au lieu de 150.

Nous ne le regretterons pas vraiment car la route est magnifique, par une retenue d’eau et un col à 3184 mètres. Toutefois Zamir a enfoncé l’accélérateur et mis son veto aux arrêts photos…

Barrage de Toktogul :

DETOUR par le barrage de TOKTOGUL 4 DETOUR par le barrage de TOKTOGUL 9

Col Alabel pass :

PASSAGE par le col ALABEL PASS 3

Après le col :

APRES le col ALABEL PASS 2 APRES le col ALABEL PASS 3

Nous arrivons chez l’habitant de nuit après avoir suivi une gorge qui nous a paru d’autant plus impressionnante.

A bientôt.

 

Entrée au Kirghizistan, Osh

Le passage de la frontière à pied s’est fait sans encombres avec une douanière francophone et francophile, connaissant l’histoire de France et la Marseillaise. Toutefois bien sûr, contrôle de tous les bagages, et longue inspection de l’ordinateur portable par le supérieur hiérarchique après demande de mot de passe. Pour les véhicules, çà avait l’air plus compliqué…

Osh rime avec pluie en russe (doch). Effectivement, ce fut notre premier jour de pluie.

DSCN4931

Aujourd’hui contre toute attente, le ciel s’est éclairci et nous pensons avoir finalement des chances de pouvoir contempler notre premier 7000 mètres. Nous nous rendons en effet à Sary Mogul (à un peu plus de 200 km) d’où l’on a la meilleure vue sur le pic Lénine (7134 m). Nous empruntons en fait la route faisant suite à celle du Pamir par laquelle nous aurions dû arriver du Tadjikistan.

D’abord des pentes douces et verdoyantes où s’ébattent des chevaux en toute liberté, parsemées de yourtes.

OSH 4 vers Sary Tash

Nous sommes arrivés à un col en même temps qu’un groupe de Kirghiz qui ont voulu une photo de groupe mais aussi se faire prendre individuellement avec nous. Autant dire que la séance s’est un peu prolongée… mais le cadre était magnifique. Pour finir, l’un d’eux nous a dit qu’on serait sur le journal?…

OSH 7 vers Sary Tash OSH 5 vers Sary Tash

Puis les pentes deviennent plus raides, plus dénudées et même ravinées.

OSH 15 vers Sary Tash OSH 17 vers Sary Tash

Tous les animaux montent dans les jailoo (pâturages d’été).

OSH 8 vers Sary Tash OSH 12 vers Sary Tash

OSH 3 vers Sary Tash OSH 16 vers Sary Tash

Un petit âne en prime pour Romane, Maxence et Maëlys.

Nous parvenons à un hameau où curieusement voitures et camions sont stoppés. Ce ne peut pas être le « bardak » comme à Osh sur cette route de montagne. Que ce passe-t-il? « Niè haracho », s’écrit notre chauffeur. Aïe, je crains que les pluies de la veille n’aient provoqué un éboulement ou un glissement de terrain. Le chauffeur part aux renseignements pendant que nous tentons de communiquer avec des Kirghiz curieux.

OSH 9 vers Sary tash

Nous voyons revenir notre chauffeur qui met désespérément les bras en croix pour signifier que tout est bloqué. Nous comprenons qu’il s’agit en fait d’une manifestation antigouvernementale: c’est le troisième jour que des véhicules bloquent la route et cela risque de durer. Cette route est en effet une route de passage importante pour les camions chinois qui se rendent à Kashi. Décidément, que ce soit du côté tadjik du fait des évènements de Korog, ou du côté Kirghiz, cette route sera restée impraticable… Le sort est contre nous!

Nous finissons donc la journée au bazar d’Osh.

OSH 18 bazar OSH 20 bazar

OSH 22 bazar

A bientôt. Bisous.

Margilan : la galère

Margilan, dernière étape avant la frontière kirghiz. En milieu de journée un taxi collectif nous dépose avec armes et bagages devant le seul hôtel de la ville où nous étions censés être parvenus à réserver la veille. Nous pénétrons dans un vaste hall mais là un jeune homme nous informe que l’hôtel est fermé… Nous sommes donc sur le trottoir avec valise, sac à dos, et sans savoir où aller. Vu notre embarras, le jeune homme nous dit qu’il peut faire taxi jusqu’à Fergana, ville proche où nous trouverons plus facilement un hôtel. Nous voilà donc partis, et commençons à tenter de joindre des hôtels : un, deux, trois, quatre… en vain. Notre chauffeur, arrêté sur un trottoir de Fergana, tente également de multiples appels : rien de rien. Je finis par appeler un complexe hôtelier présenté dans le guide comme se rapprochant d’un Club Med. On me passe un charmant monsieur anglophone qui me dit qu’ils sont complets et que nous ne trouverons rien à Fergana. Il faut aller à Kokand ou à Andijan (entre 70 et 80 km). Nous lui expliquons que nous venons de Kokand et que nous voulons visiter Margilan. Bon, il va essayer de trouver une solution et nous rappellera. Nous sommes toujours avec notre taxi minibus sur le trottoir. Le chauffeur nous dit que ce sera plus cher que prévu… Je pense que nous allons finir sur un banc dans un parc. Le téléphone sonne: « Je n’ai pu trouver qu’une guesthouse à Margilan. Dois-je confirmer votre arrivée? ». Ouf, nous voilà repartis à Margilan avec notre chauffeur, dont la petite amie s’est jointe à nous entre temps. Par contre, nouveau problème : malgré les explications données directement à notre chauffeur, celui-ci tourne et retourne, demande et redemande, pas moyen de trouver. Enfin, miracle, un passant a l’air de connaître et nous finissons par arriver devant une grande maison anonyme. C’est bien là… Nous avons bien mérité notre visite à la fabrique de soie Yodgorlik qui emploie environ 200 personnes possédant un grand savoir faire. Voici quelques photos : Olivier et Lucas pourrons faire part de leurs conseils.

MARGILAN 1 fabrique de soie Yodgorlik MARGILAN 3 fabrique de soie Yodgorlik

MARGILAN 4 fabrique de soie Yodgorlik MARGILAN 5 fabrique de soie Yodgorlik

MARGILAN 6 fabrique de soie de Yodgorlik MARGILAN 7 fabrique de soie de Yodgorlik

MARGILAN 10 fabrique de soie de Yodgorlik MARGILAN 9 fabrique de soie e Yodgorlik

MARGILAN 12 fabrique de soie de Yodgorlik MARGILAN 14 fabrique de soie de Yodgorlik

MARGILAN 15 fabrique de soie de Yodgorlik MARGILAN 16 fabrique de soie de Yodgorlik

MARGILAN 17 fabrique de soie de Yodgorlik  Là je n’ai pu mesurer les décibels.

A priori, pas de tendinite à déplorer.

Après un petit tour au bazar,

nouvelle galère pour retrouver la guesthouse malgré la communication au chauffeur du plan d’accès dont nous nous étions prudemment pourvus et l’accompagnement par le guide anglophone auquel la fabrique avait fait appel pour nous et qui ne nous avait pas lâchés… Bon : « çà sera plus cher que prévu »… OK, on s’en serait douté!

A bientôt, au Kirghizistan. Bisous.