Nous avons essuyé un bel orage dans la montagne.
Quelques chameaux devant le barrage d’Ortotokoy :
Ici, comme en Ouzbékistan, le code de la route est différent de chez nous :
– Limitation à 30 ou 50 : on multiplie par 2 ou 3
– Seuls ralentisseurs efficaces : les animaux
– Rares feux rouges : on regarde bien s’il ne vient personne avant de passer
– On roule tantôt à droite, tantôt à gauche en fonction de l’état de la chaussée et, bien sûr, on double tantôt à droite, tantôt à gauche.
On a doublé, sur la grande route menant au lac Issyk Kul, dont des tronçons relevaient de la piste, de nombreux camions chinois. Beaucoup de camions arrêtés également pour crevaison ou panne.
Le temps reste désespérément à la pluie. Les montagnes sont coiffées et le lac ne nous apparaît pas sous son meilleur jour.
A Kochkor, premier café internet depuis Osh, mais mortellement lent. Je suis contrainte d’attendre Karakol pour publier la suite du blog.
Après une nouvelle nuit sous yourte, nous nous enfonçons dans la gorge de Jety-Ogul ; falaises rouges à l’entrée puis paysage alpin.
On m’a proposé de traire les vaches, mais je crains d’avoir oublié…
Demain, retour à la civilisation et à des températures plus clémentes.
A bientôt.